Die zukünftigen DS-Modelle erhalten übrigens ein anderes System als die Citroen-Modelle. Auch wenn die Techniker sich dazu noch in Schweigen hüllen, kann man davon ausgehen, dass DS-Fahrer eher einen fliegenden Teppich mit Luftfederung ordern werden können.

En revanche, le passage d’un ralentisseur vous fait basculer dans un autre monde.
Déjà confortable de série, le C4 Cactus devient une merveille de douceur. L’obstacle est toujours perceptible, mais la caisse ne présente plus d’accélération verticale brutale, il est digéré tout en douceur, comme si la voiture était chaussée d’immenses pneus dégonflés. Digne d’une voiture de très haut standing. Vraiment impressionnant. A plus vive allure, les trépidations sont un peu moins présentes, mais le progrès n’est pas flagrant. En revanche, sur route bosselée ou chaussée dégradée, chapeau aux ingénieurs : le démonstrateur garde son cap et semble survolés les creux et bosses, qui semblent s’effacer comme par magie.
Une C5 Hydractive faisait des prouesses semblables, direz-vous. Certes, mais avec une technologie complexe, coûteuse et au prix d’un comportement pataud. Ici, il n’en est rien : le démonstrateur n’affiche pas un roulis excessif, il conserve l’agilité et la stabilité originelle du modèle, et le comportement n’est pas dégradé par le surcroît de confort.